Deux Xy en retraite

Myriam qui était alors plongée dans ses rêves releva la tête, surprise.

Son regard se détacha de Louis pour observer sa main caressant la sienne.
Elle ne savait pas quoi faire, et puis elle se décida.
Avec douceur, elle étreignit sa main, elle l'aimait.

Elle leva ses yeux sur lui, il était beau. Son coeur battait la chamade. Elle n'avait plus qu'une envie, mais sa raison l'en empêchait.

Tandis que Louis écoutait plutôt son instinct que sa raison. Son regard était noyer dans les yeux bleu de Myriam. Enfin décidé, il
Approcha sa tête de celle de Myriam et l'embrassa. Il se sentait enfin soulagé de pouvoirs dire ouvertement se qu'il pensait.

Et puis Myriam, toute heureuse de ce qui se passait se laissa faire.
Délicatement, elle posa son autre main sur son torse.
Jamais elle n'a connu cela auparavant.
Elle l'aimait à présent plus que tout. Mais maintenant, elle aurait peur, peur de le voir patir, c'était effrayant mais elle luttait pour chasser cette idée de sa tête.

Elle serra sa main bien plus fort encore, mais toujours d'une incroyable douceur.

Il était envouté par la douceur de la peau de Myriam. il laissa une de ses mains se faufilé entre sa belle chevelure blonde et la caressé.

*Wow, j'adore ça!*

Il était follement amoureux d'elle à présent. Et en même temps que son amour était née la peur de la perdre à jamais. Mais en homme de situation, il préfèrait savourér le baisser ici q'avant leurs dernier souffle.

Enfin, quand ses lèvres quittèrent les siennes, Myriam retira doucement sa main.
Elle leva les yeux dans les siens. Une petite lueur brillait dans son regard.
Elle lui sourit nerveusement.
Sa main tenait toujours la sienne aussi fermement, à croire qu'elle ne voulait pas le lacher!

* Je... c'était génial !*

" C'était... Je..."

Elle se mit à rire.

Il se mit à rire lui aussi. En plein millieu de toute une ville de combat sanglants et sauvage contre des créature tout droit sorti de l'enfer, l'amour pouvais encore existé. Louis Ne voulais pas non plus se séparé de l'emprise de Myriam, alors décida de parlé pour détendre l'atmosphère.

"Je... je t'aime Myriam... plus que tout!"

Il n'arriveai pas à prononcé les mots correctement tellement il était sous le bonheur du baiser.

C'était dément, Myriam était aux anges.
En plus de cela, Louis qui avouait ses sentiments par la parole la rassurait d'autant plus.

Et d'une voix douce, légèrement anxieuse, elle lui répondit.

"Je t'aime aussi Louis... et..."

Elle sembla hésiter.
Myriam voulut lui dire qu'à présent elle avait peur pour lui, si jamais le fléau venait à lui faire du mal...

Louis senti la peur sur la peau de Myriam et souriait de plaisir.

"Je sais... Tu a peur de me perdre. Et bien moi aussi, j'ai peur de te perdre. Alors comme ça, nous veilleront toujours l'un sur l'autre, peu importe la situation et le danger."

Il approcha son banc pour être juste à côté de Myriam, comme si ils étaient assi l'un à côté de l'autre. Il laissa passé une main autour de la taille de sa nouvelle et première conquête comme si il voulais la tenir au chaud. Son autre main était occupé à serré celle de Myriam.

"Myriam, je promet, sur tout ce que j'ai à offrir et à prouvé en se monde, que je te suiverai loyalement, que je me batterai à tes côtés, que je te protègerai et que je laisserai sortir mon dernier souffle que si tu décide de laissé sortir le tien et en même temps. On m'a entrainer pour vaincre le fléau, mais même un soldat elevé par d'autre soldats à de besoin d'une femme pour le faire vivre... Et c'est toi la femme que j'ai choisi pour ça. Je t'aime!"

La Xy sourit à la promesse que lui faisait Louis.

"Tout pendant que mon coeur betera pour toi, que ma flamme à ton égard ne cessera de bruler alors oui...oui, je t'en fait le serment, je te resterais fidèle dans les choix que tu feras, et les chemins de la vie que tu prendras... je te suivrais où que tu ailles, même s'il faille aller au bout de la planète..."

Elle lui sourit et se pinça les lèvres.

" Tu peux toujours compter sur moi, je serais si tu le souhaites à tes cotés, quoi qu'il arrive, et n'hésites jamais à me demander de l'aide."

Les yeux brillants, et un sourire éclairant son visage, Myriam posa sa main sur celle de Louis qui entourait sa taille, elle l'embrassa d'abord sur la joue, puis sur ses douces lèvres.

Louis commença son baisser avec passion et le termina avec une ardeur ennivrante pour Myriam. Le repas était fini et les plat était encore sur la table , empillé les un par dessus les autres avec propreté. Louis prit Myriam dans ses bras et l'ammena vers le fauteuil face à la cheminé encore réchauffée par de belle flamme rouge et jaune. Louis déposa Myriam doucement sur le fauteil sas arrêté ses baisser et se coucha à côté d'elle. ses yeux noirs fixai sans arrêt les yeux bleu de Myriam.

Myriam se détacha de Louis un instant.
Elle le regardait, elle gravait son image dans son esprit, pour ne plus jamais l'oublier.
Ses yeux noirs qui le rendaient à la fois ténébreux, mysterieux étaient pour la Xy comme un soleil noir, à la fois chaud et rassurant mais empreint de secrets, elle adorait cela...
Et ses mèches, aussi noires que le charbon, aussi douces que la soie, comment pouvait-on résister à un tel charme?

Elle posa délicatement sa main sur son torse, son coeur battait, Myriam aimait cette sensation qui l'envahissait peu à peu depuis un moment déja.

À son tour, Louis examinai les traits de Myriam. Sa beau pâle aussi douce et la soie et ses long et beau cheveux blond et brillant comme l'or, soyeux et léger. Ses yeux bleu lui permettait de voir le ciel qu'il n'a jamais pu voir avant. Il n'arriveai pas à resté indéfférent face à la beauté de reine de Myriam.

Cette fois-ci c'était décisif, il était bel et bien en amour avec il comptait bien le resté.

Les deux Xy semblaient paisibles auprès du feu qui dansait dans son foyer. Seul le crépitement de la heminée faisait du bruit, mais cela n'était guère dérengant.

Myriam savait à présent que Louis était son homme à elle, si on pouvait l'appeler comme cela.

Soudain, un grand fracas retentit au dehors, faisant sursauter la Xy. Mais qu'était ce donc que ce cohus qui dans la rue faisait tant de bruit?

Myriam se leva du fauteuil et tout en regardant Louis, s'approchait de la porte.

"
Peut être devrions nous aller voir ce qu'il se passe. Du haut des toits, nous pourrons sans doute voir toute la scène."

Myriam était un peu effreyée, mais d'avantage intriguée par ce qui se tramait là dehors.

"D'accord!"

Il sorti son magnum chargé sa ceinture et vérifia avec son autre main si son poignard était toujours dans sa gain caché autour de osn avant bras. Avant d'ouvrir la porte, il prit la main de Myriam et senti son intrigue et sa peur. Il l'embrassa sur le fond pour la rassurée.

"Nous vivront encore plus longtemps que se soir, je te le promet!"

Il dévérouilla lentement chaque serrure et barre de métal et mit sa main sur la poigné de porte en acier. Son autre main tenait son magnun. Chaque fibre de son corps était près pour le combat.

"Tu es prête?"

"Assurément !" lui répondit-elle.

Louis tira la porte, la pluie tombait toujours autant, les nuages assombrissaient le ciel.
Les deux Xy s'avancèrent à petits pas vers l'escalier de secour qu'il empreintèrent afin de monter sur le toit.
Arrivés là haut, il s'approchèrent doucement du rebord, sans un bruit pour qu'on ne remarque leur présence.
Enfin, ils virent avec effrois ce qui causait tant de vacarme.

Une créature grande comme un gros chien, à la peau meurtie et ensanglanté et dont les yeux prouvait son appartenance au fléau, avec des canines tranchante et des griffer longue comme des poignard. La créature rongeait la chair du cadavre d'une petite fille sans remarqué la présence des deux Xy. Louis regardait la scène avec une rage intérieur et fesait un incroyable effort pour ne pas se transformé est foncé vers la créature comme une bête sauvage.

Myriam chuchota pour elle même d'un ton repu.

"Quel horreur !"

Espérant que la pauvre petite n'est pas trop souffert, mais cela n'était vraiment que très peu probable, Myriam bouillonait interieurement, cette bestiole continuait son manège. Elle en venait même à jouer avec un bras arraché auparavant, le jetant dans les airs encore et encore.
Myriam chargea son beretta, bien décidée à ce que cet animal, si on pouvait l'appeller comme cela, ne fasse plus jamais aucune victime humaine ou Xy.
Mais soudain deus autres bêtes de se genre déboulèrent d'on ne sait où et s'attaquèrent les une les autres pour dévorer les restes de la petite fille.

* Pitoyable!*

Louis regardait le spectacle avec dégout en silence.

"J'ai déjà affronté ce genre de créature avant, elle sont rapides, mais vraiment stupide. Il ne savent même pas faire la différence entre une grenade sur le point d'exploser et un bout de chair."

En parlant, il sorti deux grenades comme celles qu'il avait utilisé pour détruire les créatures de Kamyo un peu plus tôt.

"Ça te dirai un petit feu d'artifice, chérie?"

D'un ton enjoué, elle lui répondit un sourire aux lèvres.

"Oh oui mon amour, mais alors qu'il soit rouge ! J'adore le rouge !"

A la fois la Xy voulait voir le spectacle, mais la déflagration de la grenade risquait de les bruler.
C'est pourquoi elle se recula un peu, mais ayant toujours un oeil sur les sales bestioles.
Elle se préparait à l'explosion.

"Alors tu à bien choisi ta couleurs. Il vas y avoir du sang."

Il enleva la goupille d'un coup sec et jeta la grenade en plein millieu des bêtes. Louis recula pour évité d'être blessé en même temps. La grenade explosa et laissa de grande tâche de sang éclaboussé les murs.

"Un spectacle comme je les aimes...!"

Myriam tourna la tête, déja l'odeur de la mort et du sang avait envahie la rue.
Un court instant après, elle s'approcha du bord et observa les dégats d'un air indifférent.

"Hum... Celle-ci ne front plus de victime!

Elle adressa un sourire à Louis avant de fixer de nouveau la rue. Au loin, résonnait le son de coups de feu et d'armes en métal s'entrechoquant, comme des épées par exemple. Elle ferma son manteau car il commençait à faire bien frais.

"Là bas quelqu'un est en danger, qu'en dis tu?"

Ils ignoraient complètement de quoi il s'agissait, était-ce le fléau qui frappait une nouvelle fois...pour ne pas changer?

"J'entend les même bruit que toi. Je dirai qu'on devrai aller voirs mais avec notre équipement au complet cette fois-ci. On ne sais pas encore sur quoi on va tomber!"

Les bruit commençait à résoner de plus en plus fort, le combat semblait faire rage. Louis mit une mains sur l'épaule de Myriam.

"Nous sommes tomber amoureux de l'un et l'autre se soir, mais il ne faut pas oublier que nous sommes des Xy et que notre seul bût est d'en finir avec se fléau..."

Ses paroles revinrent dans ses pensés et pour la première fois depuis sa mutation, Louis se demandait si il a été manipuler par le gouvernement pour faire de lui une machine à tuer. Il se demandait aussi ce qu'il arrivera au Xy si jamais le fléau est vaincu!

m'approche silencieusement. M'arrête a quelque pas des autres humains, les regardent au loin. Puis, m'approche et murmure

-salut...

je déposa Esprit par terre, car il bougeait trop.

C'était vrai, ils étaient tout deux Xy et devaient faire ce qu'ils avaient à faire.
La même question lui vint à l'esprit, pourront-il jamais être tranquiles, le fléau ne sera t-il un jour qu'un mauvais souvenir dont ils pourront se railler? Enfin, ils n'en n'étaient pas là malheuresement. Fort restait à faire.
Mais est-ce que Louis n'avait pas tord à ce sujet? Finallement, est-ce leur seul but de combattre le fléau? Myriam était sure et certaine au plus profond de son être qu'il existait quelque chose d'autre, l'amour par exemple. Pour elle c'était déja battre le fléau sur un certain point que de laisser ces émotions naturelles, humaines l'emporter sur tout le reste.

Une jeune fille s'approcha d'eux. Myriam hocha la tête pour la saluer, avant de se tourner vers Louis.

"Nous devrions aller chercher nos armes. Heu, mademoiselle, je..."

Il regarda Myriam., puis Novo et retoruna son regard vers Myriam.

"Reste ici et fait connaîsance avec elle, moi je fonce chercher les armes. Ne bouge pas, je revient!"

Il embrassa Myriam avec un baiser rapide mais légèrement fougueux et fonça à la course vers la planque.